Février 2025

 

LA PAROLE EST À LA MAJORITÉ


 

Mérignac investit sur l’avenir

L’année 2025 est une fois de plus placée sous le signe de l’ambition et de la responsabilité. Ambition car nous ne renonçons jamais à investir pour notre commune, à développer de nouveaux équipements et à offrir des services adaptés aux besoins de la population. En 2025, nous lancerons la réhabilitation des écoles Jules Ferry et Oscar Auriac. Nous commencerons la reconstruction du complexe sportif Leo Lagrange. Nous poserons la première pierre du pôle jeunesse en centre-ville ou celle de la réhabilitation-extension du Krakatoa. Nous accélérerons la rénovation énergétique de nos bâtiments et poursuivrons la création d’ilots de fraicheur dans la ville. En 2024, nous avons investi 35,6 millions d’euros, un record dans l’histoire de notre commune. Et depuis le début du mandat, 145 millions ont été engagés, soit presque le double que sous le mandat précédent.
Responsabilité car nous faisons tout cela sans augmentation des taux de fiscalité, restés stables depuis 15 ans. Sans toucher non plus aux tarifs des services municipaux comme les repas à la cantine, les centres de loisirs ou les cours au conservatoire. Tel est le pari de la majorité en place à Mérignac : améliorer le cadre de vie tout en restant attentif au pouvoir d’achat des habitants et aux équilibres financiers de la collectivité. Pari réussi ! habitants de ces quartiers.

David Charbit, Adjoint au maire, délégué aux finances, aux marchés publics et au numérique

 


 

D’autres choix budgétaires pour renforcer le service public

Les élu·e·s communistes vous souhaitent des voeux de paix, de solidarité pour l’année 2025. Cette nouvelle année se place dans une situation inédite. L’instabilité politique au niveau national se double d’une situation budgétaire catastrophique par un manque de 40 milliards d’euros dans les recettes de l’État.
Alors que nos collectivités ne sont en rien responsables de cette situation, le gouvernement a tenté de prendre des mesures d’économies qui auraient provoqué un véritable saccage du pays, mettant dans la difficulté, voire pire, les collectivités et leurs capacités à maintenir les services et équipements publics de proximité.
Les élu·e·s communistes ont combattu ces choix, en défendant les dépenses de nos collectivités pour les biens communs utiles à toutes et tous. La bataille se poursuit en ces premiers mois de l’année, car les mêmes gardent le pouvoir, niant les résultats des élections législatives.
Nous réaffirmons qu’il est possible de faire autrement. Notre société n’a jamais produit autant de richesses grâce au travail des salarié·e·s. Mais celles-ci sont accaparées par une infime minorité comme le montrent l’explosion des grandes fortunes, les montants records des dividendes versés aux actionnaires ou encore les 80 milliards annuels d’évasion fiscale.
La commune de Mérignac, plutôt que de se retrouver contrainte à faire des coupes dans les dépenses, de nouvelles recettes seraient utiles pour l’investissement dans le logement social, la petite enfance, l’éducation, le sport, la culture, l’environnement dans le cadre de l’intérêt général. Un intérêt général qui impose que d’autres choix budgétaires et financiers soient faits au niveau national.

Groupe communiste : C. Mellier, J. Girard, M.A. Chaussoy, L. Farnier, L. Beaulieue

 


 

De la ville verte à la ville vivante

Les résultats concomitants de plusieurs études scientifiques, révèlent une corrélation significative entre l’indice de végétalisation et la santé des individus. En vivant à proximité d’une trame verte ou bleue, notre état de santé est significativement meilleur pour un tas de raisons. Cette géographie de la santé à l’échelle micro-urbaine met en évidence les bienfaits du verdissement des villes.
Faut-il se contenter de verdir les villes grises ? Ou au contraire être audacieux en appliquant, par exemple, la règle des 3-30-300 ? A savoir, voir au moins trois arbres depuis son domicile, résider dans un quartier avec au moins 30 % de surface arborée, et habiter à moins de 300 mètres d’un espace vert ? Proposer une autre martingale ayant fait ses preuves ? Le contexte de restriction budgétaire ne doit pas nous empêcher d’être ambitieux, notre santé n’a pas de prix !
C’est pourquoi le projet Mérignac ville verte qui se déploie progressivement est une belle opportunité d’atténuer les effets du changement climatique, de faciliter l’adaptation à un nouvel environnement. C’est surtout une belle occasion de ne pas simplement améliorer le cadre ou les conditions de vie mais surtout d’optimiser notre espérance de vie par des aménagements judicieux et minutieusement préparés. Nous avons les cartes en main pour améliorer notre futur environnement urbain et la santé de ses habitants.

Eric Sarraute pour le groupe Mérignac Ecologistes et solidaires

 


 

LA PAROLE EST À L’OPPOSITION


 

Liaison Mérignac-centre / Gare St-Jean : ça se dégrade !

La municipalité est-elle assez attentive au service que rend TBM(*) ? Jusqu’à l’été dernier, la Liane 1 était un moyen direct et rapide pour aller prendre un TGV(**) depuis Mérignac-centre. Désormais, le trajet est soit + long (jusqu’à 1h30 par le bus 35), soit avec correspondance (Tram + bus, Liane 1 + bus, bus 35 + TER(***), etc.), soit avec de la marche à pied (550 m. pour rejoindre le bus 20).

Outre des lignes où la fréquence est faible, les usagers subissent des bus qui passent en avance sur l’horaire, des annulations de passage sans préavis, des bus affichés aux arrêts mais inconnus des chauffeurs (ou de l’application TBM), des temps de trajet rallongés quand les grilles horaires tiennent mal compte du trafic, une flotte de bus en partie vieillissante… Conséquences pour les voyageurs :

  • Stress lié à l’incertitude sur le temps de trajet
  • Incompatibilité du bus avec les emplois du temps serrés
  • Choix très coûteux du véhicule personnel (auto ou moto)

Il y a 3 ans, nous avions déjà fait ces remarques. En vain… Quel que soit le mode de transport, les déplacements dans Mérignac et sur le territoire de Bordeaux Métropole ne sont pas satisfaisants.
Pour faire préférer le réseau TBM(*), ce qui contribue à la transition environnementale, ponctualité et fiabilité doivent être améliorées.
La municipalité doit réagir !

Thierry Millet et Antoine Jacinto Ensemble pour une Ville Durable

(*) Transports de Bordeaux Métropole 
(**) Train Grande Vitesse
(***) Train Express Régional 


 

LES SERVICES MUTUALISES DE BORDEAUX METROPOLE SONT-ILS LA SOLUTION POUR TOUS LES PROBLEMES DES MERIGNACAIS ?

Quelle analyse objective peut-on en faire ? Quels sont les gains réels pour notre commune ?
Ce sont ces questions que nous avons posées lors de la présentation du Rapport Métropolitain d’Activités 2023, au dernier Conseil Municipal du 16 décembre 2024.

Le schéma de mutualisation aura 10 ans en 2025 ; il s’est développé au gré des ans, et 25 communes sur 28 ont mutualisé au moins une compétence en 2024. Notons que la commune de la Présidente, Eysines, n’en ait aucune ! Intrigant, non ?

Sans remettre en cause cet engagement qui se veut vertueux, une évaluation tant en « coût » qu’en « qualité » est indispensable ;Refusons d’accepter que la mutualisation des services soit un rempart pour la municipalité, à se cacher derrière ses responsabilités… « Ce n’est pas nous, c’est la faute de Bx Métropole ! » : Modification des jours de ramassage des poubelles sans réelle information à l’usager, arrêt de lignes de bus sans remplacement, dégradation continue de la propreté des espaces publics… Malheureusement, nous vous laissons le soin de compléter ! Pour ces raisons, nous avons demandé un bilan détaillé sur les 3 dernières années à la Majorité Municipale. L’aurons-nous ?

CONTINUEZ A NOUS COMMUNIQUER VOS AVIS, et ENSEMBLE préparons de nouveaux HORIZONS pour Merignac !

Patrice LASSALLE-BAREILLES, Conseiller et Délégué Municipal HORIZONS, Maria IACOB-GARIBAL, Conseillère Municipale