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Plusieurs démarches ont été mises en oeuvre sur Mérignac afin de répondre aux besoins des parents et des enfants sur les temps périscolaires.
Tout d’abord, aux côtés de Véronique Kuhn, adjointe à l’éducation, nous sommes intervenus dès cet été pour augmenter les capacités d’accueil des centres de loisirs. Certains parents rencontraient en effet des difficultés pour réserver sur les périodes de vacances scolaires.C’est donc 80 nouvelles places qui ont été créées dès le mois de juillet . 8 nouveaux animateurs ont été recrutés en plus de ceux déjà prévus et de nouveaux locaux ont également été mobilisés.
Ensuite, d’autres initiatives sont mises en oeuvre pour créer du lien entre les parents et les enfants d’un même quartier. C’est ainsi que s’est déroulée le 23 septembre dernier, la 3ème édition de la « Rue aux enfants » à Beutre. En fermant une rue et en redonnant cet espace à jouer, on favorise la dynamique de quartier. Familles, animateurs du centre social, agents de l’école, associations éducatives et culturelles de proximité et services de la Ville (éducation, périscolaire, police municipale, médiation, logistique etc.). Tous collaborent pour contribuer à la réussite de cette magnifique journée. Depuis 3 ans maintenant, le succès est au rendez-vous !
Samira El Khadir Conseillère municipale déléguée à la vie scolaire et périscolaire
l’État doit (ré)agir ! Plusieurs Villes (dont Bordeaux, Lyon, Rennes, Grenoble et Paris) ont saisi la justice pour dénoncer les insuffisances de l’Etat. La loi est claire « Toute personne sans abri en situation de détresse médicale, psychique ou sociale a accès, à tout moment, à un dispositif d’hébergement d’urgence.». Le nombre de situations de détresses humaines est en constante augmentation dans le pays, il est temps d’obtenir un sursaut national pour enrayer cette dynamique où toujours plus de femmes, d’enfants et d’hommes dorment dans la rue.
Nous sortons de l’un des étés les plus chauds jamais enregistrés et nous sommes aux portes de l’hiver. La situation des sans-abris est rendue encore plus difficile par le changement climatique, autre domaine dans lequel l’Etat a déjà été condamné par deux fois pour son inaction.
A Mérignac, le Centre Communal d’Action Sociale avec le SAMU social, le Relais des solidarités et les associations font leur possible pour combler les carences de l’Etat en apportant des solutions de relogement d’urgence, des aides alimentaires ainsi qu’un accompagnement social.
Bastien Rivières et Sylvie Cassou-Schotte pour le groupe Mérignac Ecologiste et Solidaire
Alors que vient de se tenir le congrès HLM, le constat est alarmant.
Au niveau national, c’est 2,4 millions de ménages en attente de logement social.
Sur Bordeaux métropole, ce sont plus de 45000 demandes en attente (+11% par rapport à 2021), dans le même temps, le nombre de logements attribués est en baisse.
Sur Mérignac, la demande est de plus de 4000, pour seulement 600 attributions en 2022.
Notre ville avec son maire recherche des solutions pour satisfaire le maximum de nos concitoyens et propose des programmes de construction mesurés et raisonnés, ce qui ne plaît pas à nos opposants. Dans toutes les opérations nouvelles, c’est 35% de logements sociaux qui est demandé.
Pour notre part, nous proposons que ce soit 50%, car 73% de demandeurs peuvent prétendre à un logement social, Bien entendu, c’est au-delà de la préconisation de l’État (25%).
Malgré notre volonté et les outils mis en oeuvre, les villes ont leurs limites, l’État doit prendre sa part et assumer son rôle.
Nous attendons de savoir comment le préfet compte mobiliser le foncier de l’état pour la construction de logement social.
Dans ce contexte de marasme global, l’augmentation de la production doit rester un objectif pour satisfaire les besoins, et aussi de pouvoir limiter les prix des loyers, pour se loger dans des conditions décentes à un prix abordable, car malheureusement, les salaires et les revenus des ménages ne suivent pas l’inflation.
Les élus communistes : J. Girard, C. Mellier, L. Beaulieu, L. Farnier, M-A. Chaussoy
Depuis 1944, sans aucune alternance, le PS* règne sur son bastion mérignacais. Voici ses recettes pour préserver sa chasse gardée :
L’autoproclamé « camp du bien » ne fait pas que du « bien » à Mérignac…
Thierry Millet, Ch. Peyré, Th. Dovichi, H. Delneste, A. Jacinto et S. Deluc Ensemble pour une Ville Durable
* Parti Socialiste - Parti Communiste - Europe Ecologie Les Verts
** La France Insoumise
*** Chambre Régionale des Comptes de Nouvelle Aquitaine
De la Palestine à Arras, le terrorisme frappe la démocratie et se joue de l’harmonie des peuples à vivre ensemble. 8 000 radicalisés sont suivis en France, et saluons le travail de nos policiers qui oeuvrent, au péril de leur vie, à protéger les nôtres !
Cette brutalité du monde réel, représente un traumatisme qui vient déstabiliser toutes les générations ; « fake news », messages anti-républicains, antisémites relayés par les réseaux sociaux exacerbent l’inquiétude et les angoisses. Ne réduisons pas le VIVRE ENSEMBLE à la seule notion du « dominant-dominé », en soutenant que cette bipolarité résume la complexité du Monde.
Combattons le discours NUPES et rappelons que le HAMAS ne représente pas le peuple palestinien… à contrario, il le spolie, le prend en otage ! Mais que vaut une VIE pour le terrorisme ? quand il tue toute population confondue, les professeurs, nos enfants, nos anciens…
OUI ! CAPEYRON se révolte contre un dépôt de voiture, BEUTRE présente une « symphonie pour Klaxons et essuie-glace »… Mérignac se peuple un peu plus chaque jour…
plus chaque jour… Retenons la 2ème édition de la Journée Nationale de la Résilience et le Relai des Solidarités pour RESTER DEBOUT et ENSEMBLE malgré nos différences !
Maria IACOB-GARIBAL, Suppléante au Député, Patrice LASSALLE-BAREILLES, Délégué Municipal HORIZONS